Matthew Clairmont et Miriam Shephard avaient leur propre laboratoire à l'Université d'Oxford, leur permettant d'effectuer leurs recherches sur le déclin des créatures en toute discrétion.
Jusqu'à la découverte de l'Ashmole 782 par Diana Bishop, personne n'était au courant de ce laboratoire, à part Marcus Whitmore qui leur donnait un coup de main de temps à autre.
Matthew et Miriam étudiaient le génome des créatures pour savoir ce qui se passait chez eux. Généralement, leurs échantillons provenaient de cadavre puisque les créatures évitaient de se côtoyer.[1]
Matthew emmena Diana dans ce laboratoire pour lui expliquer le sujet de leurs recherches. Ils voulaient comprendre pourquoi les vampires échouaient à transformer, les démons devenaient fous et les sorciers perdaient leurs pouvoirs.
Il lui montra le graphique de l'ADN mitochondrial de la sorcière Benvenguda qui avaient vécu au VIIe siècle en Bretagne et celui de sa dernière descendante vivante la sorcière Beatrice Good. Son ADN avait beaucoup moins de marqueur commun aux sorcières et expliquait que ses ancêtres ne s'étaient plus appuyés sur la sorcellerie pour survivre.[1]
Quelques jours plus tard, Diana accepta qu'ils prélèvent son sang pour découvrir à quel clan originel les Bishop appartenaient. D'après Marcus, il y en avait 4.[2] Ils découvrirent avec stupéfaction que Diana avait tous les marqueurs génétiques qu'une sorcière pouvait avoir. Elle était unique en son genre possédant les marqueurs élémentaires de l'air et de l'eau mais également de la terre. Matthew pensait qu'elle pouvait donc lancer des sorts.[3]
Galerie[]
Références[]
Une partie des photos proviennent du site de Dan Martin qui a travaillé sur les deux premières saisons de la série : http://www.danmartindesign.com/